Dans le choix vaste et dense des peintures décoratives, pas toujours simple de choisir la peinture du salon ou de la chambre.
En effet, on peut se poser la question de la couleur, de la texture ou de l’effet, voir même du fabricant ou encore de sa composition.
Voici nos 5 astuces pour vous y retrouver (et éviter de re-tourner la question dans votre tête pendant des semaines).
1. Les Carnets de Tendances
A l’instar de la mode vestimentaire, la décoration intérieure suit des modes, des tendances, que ce soit en choix de matériaux ou encore de coloris.
Pour ceux et celles qui souhaitent trouver de l’inspiration, les Carnets de Tendances vous permettront de voir ce qu’il se fait ailleurs, et comment les couleurs se marient en ce moment.
Plusieurs possibilités s’offrent à vous.
Il est possible de se faire son propre Carnet de Tendance. A partir de ce que vous voyez sur magazines, catalogues, site internet voir chez d’autres personnes, vous compilez ces informations (sur papier, en version numérique) pour vous servir d’inspiration.
Il est possible de trouver en ligne des Carnets de Tendances tout-prêts faits, à l’instar du blog de cet artisan peintre qui chaque année, fait un point sur les tendances en matière de peinture intérieure (voir le site www.cote-peinture.fr) pour donner des idées à ses clients. Mais c’est le cas des webzines déco, des blogs décos, etc…
Sinon, la technique « classique » est simplement de vous rendre chez votre revendeur (soit en GMS, soit en magasin spécialisé) et de feuilleter les catalogues des fabricants. Les créateurs de peinture fonctionnent bien entendu par « saison » ou par « collection », sous entendu, en fonction des tendances actuelles. Donc leurs catalogues feront de parfait Carnets de Tendances à ramener chez vous et à feuilleter à loisir.
Le métier d’artisan peintre est, dans le bâtiment, un métier important puisque c’est lui qui donne de la couleur aux constructions ! Technicien ET décorateur, il manie aussi bien la truelle que le pinceau. Même si la finition apportée est d’ordre esthétique, l’artisan peintre est très polyvalent car il se doit de maitriser différents supports (bois, brique, placo, etc…).
Le métier d’artisan expliqué en vidéo :
Vous pouvez aussi trouver de nombreuses informations sur le métier et le cursus de formation pour devenir artisan peintre, sur le site de le site de la CAPEB, le syndicat patronal de l’artisanat du bâtiment.
Artisan-peintre à Nantes : témoignages
Rachel Pandolfino a opéré une reconversion professionnelle suite à la découverte des métiers du bâtiment. Elle est devenu artisan peintre, un métier qu’elle exerce aujourd’hui en tant que son propre patron. Et même si le secteur est encore très masculin, cela ne pose aujourd’hui aucun problème à la jeune femme qui reste très motivée dans son travail et qui apprécie l’ambiance de chantier.
Découvrez son interview vidéo :
La rénovation et la peinture décoration à Nantes offre un panel de prestations riches et diversifiées : réhabilitation d’anciens hangars désaffectés, rénovation d’appartement ou de maison du centre-ville ou encore restauration de bâtiments historiques.
Comme en témoigne l’artisan peintre nantais Côté Peinture à propos de son métier : « Chaque chantier apporte son lot de surprises, ses spécificités. Chacun a son charme et on découvre la ville d’une façon insolite : des arrières cours, des petites pépites au fond des impasses. »
En effet, peu d’artisans peintres s’aventurent dans le centre-ville, pour des raisons logistiques : circulation dense, difficultés à stationner le camion. Côté Peinture a trouvé l’astuce : le vélo cargo ! C’est à la force des jambes qu’il se faufile entre les files de voiture, et se garent directement en bas des chantiers. C’est un vrai plus pour lui : son vélo cargo ne passe pas inaperçu et surtout, il peut accepter des chantiers partout dans le centre ville de Nantes.
Car le métier d’artisan peintre est un métier pluriel, il est possible de l’envisager d’une façon toute personnelle et d’innover dans sa façon de faire. C’est en tout cas un métier essentiel de la construction, du point de vue de l’utilisateur final.
Outre le logement à proprement parler, le lieu de son habitation peut être une variable essentiel à son bien être. Choisir là où vit peut être un véritable engagement, un élément clé de son bonheur.
Le lieu de vie peut revêtir différents visages : le pays (la culture), la région, la ville ou un même un terrain particulier sur une commune. Trop peu souvent nous faisons des choix de lieux précis. C’est en effet le cours des choses et de la vie qui nous dicte où l’on doit vivre. Mais si on se pose sincèrement la question, ce n’est pas seulement le lieu, mais parfois le cours entier de notre vie qui change.
Si le travail fait partie des vecteurs principaux de choix, il est intéressant de se poser la question de ce qui nous convient le mieux à nous, à notre mode de vie, à nos envies, à notre modèle familiale.
Voici quelques conseils pour décider du lieu idéal à vivre pour vous, que vous cherchiez à déménager, à vous expatrier ou encore à faire construire votre maison.
Interrogez-vous sur vos besoins et vos envies
Il existe de nombreux critères à prendre en compte lorsque l’on parle de son lie de vie. Ils sont très divers et leur importance sera fonction de chaque individu.
Nous pouvons évoquer différents critères qui vous permettront de réfléchir, mais il peut y en avoir d’autres, tout à fait personnel, que vous devez prendre en compte :
le climat, la météo
l’éloignement / la proximité avec des proches (familles amis)
le prix de l’immobilier
la place de la nature ou au contraire, la place du citadin
l’accès aux services, commerces, divertissements, services hospitaliers, …
le transport et l’accessibilité
la culture ou mentalité locale
les activités sportives ou culturelles à proximité
Et ces questions, vous devez les poser à l’ensemble du foyer. Si vous êtes célibataire, vous n’aurez que vos propres besoins à prendre en compte. Mais en couple ou en famille, c’est une autre paire de manches !
A partir de vos réponses, vous y verrez plus clair sur la localité à selectionner. Si vous avez besoin de verdure, la vie en centre-ville pourra vous poser problème. En revanche, dans une petite commune rurale, vous pourrez trouver votre bonheur.
Ensuite, il faudra s’atteler aux questions sur votre logement à proprement parler. Si vous n’êtes pas tellement sociable, la vie de quartier ne vous intéressera pas. Voir vous ne supporterez pas des voisins mitoyens. Par contre, certains immeubles modernes et bien isolés vous permettront peut-être cet anonymat important pour vous.
La configuration des lieux, le type de logement, la taille du logement, un accès à un jardin ou non, tout peut être important.
Par exemple, le taux d’ensoleillement dans l’habitation peut jouer un rôle majeur dans le bien être ressenti ou non par une personne météo-sensible. Il faudra alors être vigilent sur l’exposition du logement, pour faire entrer un maximum de lumière, quelque soit le temps qu’il fait.
Ce ne sont que des exemples, mais vous comprenez l’esprit. C’est en listant dans les réponses à ces questions, et bien entendu, en les hiérarchisant que vous arriverez à y voir plus clair sur le lieu et le type d’habitation qui vous conviendrez idéalements. Pour bien faire, essayer cet exercice sans penser à vos contraintes, pour le moment, tels que votre métier ou votre lieu de travail. Vous y réfléchirez dans un second temps, pour trouver le meilleur des compromis. L’important, en premier lieu, c’est d’apprendre à bien vous connaitre.
Le pragmatisme comme cadre : savoir faire des compromis
Comme le rappelle ce lotisseur dans le Morbihan (56), son lieu de vie, dans nos vies à 100 à l’heure, doit être bien pensé pour se faciliter le quotidien. Cet aménageur foncier conçoit et crée des petits lotissements familiaux, bien exposés, dans des zones toujours pratiques et intelligentes : proches des axes routiers principaux, à proximité des services, commerces et écoles, mais c’est un fait aujourd’hui, d’un bon rapport qualité/prix, c’est à dire un peu en périphérie des grandes agglomérations.
En effet, le travail, l’école des enfants vont conditionner votre projet. Même si vous rêvez secrètement de plein air et de nature sauvage, avec des enfants scolarisés et un emploi à temps-plein, il faut savoir trouver le bon équilibre entre la vie quotidienne, les déplacements, les activités de tout à chacun.
Certains préfèrent en effet vivre en ville pour profiter de tous les avantages de la ville, d’autres n’imaginent pas leur vie ailleurs qu’à la campagne. Le principal, c’est bien de choisir ce qui VOUS correspond. Il peut être intéressant aussi de penser l’Habitat un peu autrement, et de faire des contraintes, une force !
C’est le cas par ex. de 8 familles héraultaises qui ont choisi l’habitat participatif. En contractant un seul emprunt pour chacun des foyers, les logements sont accessibles, personnalisés et laissent une grande place au partage et au soutien.
Le Feng Shui, à l’instar de l’acupuncture, du shiatsu ou du Tai-Chi, est une science chinoise ancestrale, une méthode de pensée éprouvée qui doit apporter bien être, plénitude mentale et physique.
On entend parler depuis quelques années en Occident de cet art d’aménager judicieusement notre milieu de vie, mais il ne s’agit pas seulement de déplacer des meubles ou de choisir des couleurs. Cela commence par la construction de la maison elle-même : son emplacement, son orientation. Voici quelques conseils pour intégrer pleinement le Feng Shui dès le début d’un projet maison.
Le Feng Shui dans l’habitation
Le Feng Shui a pour but d’harmoniser la nature, l’humain et son habitat.
Loin d’être une sorte de magie obscure, il s’agit d’une véritable science qui permet de préserver et d’organiser l’environnement dans lequel on vit, au travers des règles de bases que nous ne verrons pas dans cet article. En effet, les règles du Feng Shui requièrent de l’expertise à expliquer et mettre en oeuvre, et ne se résumeraient que difficilement à l’harmonie entre les 5 éléments (terre, eau, feu, bois, métal) et des énergies du Yin et du Yang.
Pourquoi le Feng Shui est-il apparu dans la construction de maison occidentale ?
Beaucoup de gens ne font construire qu’une fois dans leur vie et malgré la « grande rationalité » des occidentaux, ils souhaitent s’y sentir bien, toute leur vie. Le bien-être, le plaisir, l’énergie que la maison va transmettre est vital. A l’inverse, une maison aux mauvaises ondes apportera désagréments, inconfort, maladies parfois.
La maison est, d’autant plus aujourd’hui dans un monde mouvant qui fonctionne à 100 à l’heure, un refuge, un havre de paix et de bien-être.
D’abord le terrain ensuite la maison
Le Feng Shui s’intègre au projet dès la recherche du terrain. En effet, le Feng Shui de l’environnement externe à la maison représente 70 % (contre 30% pour l’intérieur de la maison).
Il est donc primordial de commencer par l’étude du terrain. Le Feng Shui pourra s’adosser à une autre discipline : la géobiologie, qui étudie l’influence des énergies, des magnétismes, des rivières souterraines, etc…
De fait, soit vous pouvez vous faire accompagner par un expert Feng Shui pour trouver le terrain favorable, soit, si vous avez déjà un terrain, vous faire conseiller sur les aménagements à faire.
C’est ensuite seulement, lorsque le terrain est choisi et/ou aménagé que les plans de maison pourront être pensés et mis en œuvre.
Vous pouvez en tant que particuliers vous renseigner sur les règles de base du Feng Shui et vous former. Mais le plus prudent est de faire appel à un spécialiste. Certains constructeurs de maison propose les services d’un conseiller Feng Shui.